Sportiveaccomplie, vice-championne olympique de snowboard cross lors des récents JO de Pékin, Chloé Trespeuch aime aussi bien profiter des espaces enneigés de Val Thorens que de l’océan du côté de Saint-Jean-de-Monts.
ChloéTrespeuch. Paris 2024. CNOSF. CPSF. L’équipe de France. Les Athlètes. Les Sports. Jeux d'ét é Jeux d'hiver Tous les sports. olympique. Athlétisme Aviron Badminton Baseball/Softball Basketball Basketball 3x3 Beach-volley Biathlon BMX Bobsleigh Boxe Canoë-Kayak Slalom Canoë-Kayak Sprint Combiné Nordique Curling Cyclisme sur piste Cyclisme sur route Escalade
Médailléede bronze en 2014 aux JO, Chloé Trespeuch, qui vit une partie de l'année à Saint-Jean de Monts, vise un nouveau podium. A suivre cette nuit sur France 2.
Bravoà Chloe Trespeuch, marraine du Deuxième Vendée Gliss pour cette belle médaille. Chloé partage sa vie entre Val Thorens et Saint Jean de Monts et nous la soutenons depuis de nombreuses années. Chloe, on est trop fier de toi et on t'attend de pied ferme sur un Paddle !
1 Likes, 13 Comments - Trespeuch Chloe (@chloetrespeuch) on Instagram: “Escapade à @paysdesaintjeandemonts, mais toujours très concentrée sur les 2 étapes de Coupe du” chloetrespeuch. Verified • Follow. Saint-Jean-de-Monts. Liked by groupesncf and . others. chloetrespeuch. Verified. Escapade à @paysdesaintjeandemonts, mais toujours très
Jai passé quelques jours à Saint-Jean-de-Monts en Vendée où j'ai vécu la moitié de ma jeunesse. Petite, nous étions la moitié de l'année sur la côte atlantique et l'autre moitié, l
m8nhA4. Le 16/02/2014 à 1119 MAJ à 1533- - Crédits photo nom de l'auteur / SOURCEChloé Trespeuch, 19 ans, a créé la surprise en décrochant la médaille de bronze en snowboardcross. La native de Bourg-Saint-Maurice succède au palmarès olympique à sa compatriote Déborah Antonioz. Et de cinq médailles pour le attendait Déborah Antonioz, bronzée à Vancouver, et surtout Nelly Moenne Loccoz, vice-championne du monde 2011. La sensation est venue de la bizuth, Chloé Trespeuch, 19 ans, pour qui ce sont les premiers Jeux Olympiques d’hiver. Quatrième lors des derniers Mondiaux de snowboardcross à Stoneham Canada, la sociétaire du club de Val Thorens a joué crânement sa chance en finale pour monter sur la boite. Une audace payante pour cette jolie tête blonde qui n’a pas fait mieux cette année qu’une 4e place en Coupe du monde à Montafon Autriche. Deux filles se sont accrochées devant elles et sont tombées, c’est comme ça, c’est la course », commente Edgar Grospiron, champion olympiques des bosses en 1992. La finale a été un peu compliquée, a reconnu Chloé Trespeuch après avoir récupéré le petit bouquet de fleurs offert aux trois premières. Je fais un bon départ puis je fais une grosse erreur sur une table. Je garde espoir quand même. Je m’accroche jusqu’à la fin. Je profite de la chute devant moi pour passer aussi et jusqu’au bout j’y suis allée. Je suis allée chercher la médaille et c’est le plus beau jour de ma vie ! »Rage de vaincre et mental d'acierInitiée au snowboard grâce à ses deux frères ainées son frère Léo a été double champion de France, Chloé Trespeuch, qui partage sa vie entre Saint-Jean-de-Monts et Val-Thorens ses parents sont séparés, s'est mise en tête de décrocher une médaille olympique à l'âge de 15 ans. Armée d'un mental d'acier, elle se hisse au rang de numéro un mondiale chez les juniors. En mars 2012, c'est le coup d'arrêt. Elle est victime d’une rupture des ligaments croisés en Suisse. La double vice-championne du monde juniors 2011 et 2013 se lance alors dans un long contre-la-montre sans garantie, en vue des JO de Sotchi. Elle se reconstruit, puis réintègre le collectif France en octobre détermination et une rage de vaincre qui ont fini par porter leurs fruits, sur le site de l’Extrême Park de Rosa Khutor. Pour se donner les moyens de réussir son pari, la Savoyarde, qui est désormais inscrite dans l’IUT d’Annecy après avoir décroché son bac ES avec mention, a décidé de passer son DUT de techniques de commercialisation en trois ans au lieu de deux, avait des cours concentrés d’avril à juin. Le prix à payer pour se concentrer à 100 % sur sa un snow dès l'âge de 6 ans Franchement, on ne s’y attendait pas, confie sa maman, Edith Doyer restée en France. Elle sort d’une blessure des croisés. Avant de partir à Sotchi, elle avait même encore mal. Mais ça récompense sa passion pour le snow. Elle a toujours été attirée par ce sport, qu’elle a commencé à pratiquer à 6 ans. Elle a continué, elle a gravi les échelons. Elle était toujours dans les bonnes places jusqu’à maintenant. Je suis sur un nuage. » Telle mère, telle fille.
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